WordPress database error: [Expression #1 of ORDER BY clause is not in GROUP BY clause and contains nonaggregated column 'macadsl.wp_posts.post_date' which is not functionally dependent on columns in GROUP BY clause; this is incompatible with sql_mode=only_full_group_by]
SELECT DISTINCT YEAR(post_date) AS `year`, MONTH(post_date) AS `month`, count(ID) as posts FROM wp_posts WHERE post_date < '2024-04-26 15:59:59' AND post_status = 'publish' GROUP BY YEAR(post_date), MONTH(post_date) ORDER BY post_date DESC

Recherche

-

Test d'éligibilité ADSL

-

-

Meta

Actualité

« Retour aux actualités

Nouvelles offres ADSL AOL » « Dernières versions des logiciels pour le multiposte de Free.

La bande de fréquence des 5 GHz est libre.

Actualité, sans-fil

La décision n° 2005-1081, publiée au Journal Officiel du 13 décembre 2005, est une recommandation de l'ARCEP qui autorise l'utilisation de la bande de fréquence des 5 GHz. Cette bande est particulièrement utilisée pour le 802.11a, et permet des portées souvent plus longues que le 802.11b/g.

Plus précisément, la bande 5150-5350 MHz est destinée aux réseaux en intérieur avec une PIRE maximale de 200 mW et la bande 5470-5725 MHz en extérieur avec une PIRE maximale d'1 W. PIRE signifie puissance isotrope rayonnée équivalente.

Notez que le 802.11a serait officieusement supporté dans les derniers MacIntel et que le 802.11a utilise des canaux qui ne se chevauchent pas, réduisant énormément les interférences entre réseaux sans fil.

Le bulletin du Journal Officiel : http://www.admi.net/jo/20060122/ARTL0500127S.html
Source : Canard Wi-Fi

[ - ajouter un commentaire | trackback | RSS ] - Par Anthony, - le 31/01/2006 à 11:41

Commentaires (7)

  1. François le 31/01/2006 à 18:50

    À 5 GHz la portée n’est pas plus grande à PIRE ou PAR (Puissance Apparente Rayonnée) qu’à 2,4 GHz, bien au contraire, puisque la longueur d’onde est plus courte, donc les ondes sont plus sensibles à l’effet de fading, et supporte encore moins les obstacles, puisqu’une onde ne peut passer un obstacle dont l’épaisseur est bien supérieure à sa longueur d’onde (environ 5,8 cm à 5100 MHz). La différence entre le 802.11a et le 802.11b/g, c’est que les débits sont supérieurs à une distance plus grande, mais ça ce n’est pas du tout lié à la gamme d’onde, mais à la norme : CDMA dans les 2 cas, mais plus “optimisée” en 802.11a…

  2. François le 31/01/2006 à 18:50

    […] à PIRE ou PAR (Puissance Apparente Rayonnée) égale […] (petit oubli)

  3. Anthony le 31/01/2006 à 19:18

    Perspicaces ces chirurgiens dentistes ! Merci pour ces précisions, ami nancéen ;)

  4. Nicolas F1RAF le 31/01/2006 à 23:39

    Oui, c’est en partie vrai mais, les antennes étant 2 fois plus petites, il est également possible de doubler leur gain à taille constante. En pratique amateur, le record de distance sur 5 Ghz identique à celui réalisé en 2 Ghz !
    Record du monde sur 5.6GHz :
    3980kms le 29 juillet 1991 N6CA avec KH6HME en morse. 2.3GHz : 3982 km le 14 Juillet 1994 N6CA en Californie contact avec KH6HME à Hawaii
    en morse.
    Pour ceux intéressés par le radioamateurisme, venez sur notre site : http://arp75.free.fr/PortailARP/

  5. Nicolas F1RAF le 31/01/2006 à 23:42

    Complément : j’oubliais également de mentionner un détail important, à gain d’antenne doublé, la P.I.R.E est également doublée… Reste quand même quand ville la pollution hertzienne de la bande 5 Ghz est moins grande que sur le 2,4 Ghz.

  6. Maurice le 01/02/2006 à 08:49

    Oui, car en 2.4 Ghz, il y a tous les micro-ondes, les transmetteurs vidéo de maison, etc.

  7. François le 02/02/2006 à 13:37

    Anthony> De rien ;)

    Nicolas F1RAF> Oui et non ;) Ne se pose pas seulement la question de la bande et de record de distance réalisés dans des conditions plus qu’optimales, que l’on ne rencontrera jamais en usage courant, mais aussi de la norme du Wi-Fi. Pour partager la ressource radio, outre la division en canaux de fréquences différentes, on a imaginé plusieurs autres “découpage” qui se superposent à la division en fréquence. En GSM/GPRS/EDGE, il s’agit de TDMA : division en temps, la BTS (émetteur/récepteur) écoute successivement 8 portables à la suite, donc 8 comm ou time-slot par canal. En Wi-Fi, comme en UMTS (3G), c’est du CDMA, avec utilisation de codes orthogonaux. Le problème de cette norme, à mon sens, et le ‘cell breathing’. Pour faire court, ce phénomène provoque des variations de la qualité de la couverture en fonction du débit utilisé au niveau de la borne ou du Node-B, c’est-à-dire que plus il y aura de personne qui solliciteront un point d’accès, plus la couverture diminuera, la borne sera incapable de “distinguer” les utilisateurs les plus éloignés, donc ils n’auront plus de couverture, alors que dans les heures les plus creuses ça passera… Ceci couplé à une gamme de fréquence très sensible aux obstacles, et au fading out, et on obtient quelque chose d’à mon avis un peu bancale, ou alors onéreux du point de vue déploiement de couverture, car il faudra en mettre des points d’accès…
    C’est la même chose qui menacera les réseaux 3G lors des réelles montées en charge, déjà qu’en déploiement initial ça coûte les yeux de la tête (entre 1,5 et 3x fois plus d’émetteurs nécessaire pour obtenir une couverture équivalente à celle du GSM 900/1800)…. Pourquoi croyez-vous que Bouygues et Orange F se sont lancé dans EDGE (évolution du GSM pour des débits data équivalents à l’UMTS) et SFR est sur le point de le faire (il me semble)??

Ajouter un commentaire

Vous devez être identifié pour laisser un commentaire.